Fiche de présentation

MATOUSEK, Ivan

né le 28 juillet 1948 à Prague, Tchécoslovaquie, auujourd’hui République tchèque ; 1971, Faculté des sciences naturelles, Prague ; 1971-1986 chercheur en pharmacologie et biochimie de l’Institut de chimie de l’Académie des sciences ; 1991, publie son premier roman ; 2001-2007, Usine pharmacologique Leviva ; vit à Uvaly- les-Prague.

 

 

 

Type(s) : Artiste

Technique(s) : Peintre

Présentation :

Il passe d’un style à l’autre pratiquant chacun avec brio. Le Beau prince, (1977) ou Martyre de Saint Sébastien, (1985) s’inspirent de la Nouvelle objectivité*. Visage du père, (1980) ou Eve, (1983) sont traités à la manière symboliste. Demeurent deux voies principales, proches, le surréalisme* et le fantastique. Traitées le plus souvent dans une palette tassée, humide, Christ bleu au Golgotha, (1973), ou Ceux qui attendent la mort, (1978) ; la touche fluide trace les figures sans qu’aucun détail de celles-ci n’apparaisse. Il se dégage de ces compositions aux végétaux côtoyant des figures à une échelle réduite, une atmosphère dramatique qui caractérise sa marque, comme aussi l’atmosphère surréalisante de Grande danse macabre, (1978), théâtre de marionnettes à fil agitées sur plusieurs plans de plateu scénique, ou Second enfant, (1981), femme accouchant de face dont le nombril laisse apercevoir une oeil..
De 1988 à 1991, il grave de petits formats tant expressionnistes que rigoureux.

 




























 


































Il passe d’un style à l’autre pratiquant chacun avec brio. Le Beau prince, (1977) ou Martyre de Saint Sébastien, (1985) s’inspirent de la Nouvelle objectivité*. Visage du père, (1980) ou Eve, (1983) sont traités à la manière symboliste. Demeurent deux voies principales, proches, le surréalisme* et le fantastique. Traitées le plus souvent dans une palette tassée, humide, Christ bleu au Golgotha, (1973), ou Ceux qui attendent la mort, (1978) ; la touche fluide trace les figures sans qu’aucun détail de celles-ci n’apparaisse. Il se dégage de ces compositions aux végétaux côtoyant des figures à une échelle réduite, une atmosphère dramatique qui caractérise sa marque, comme aussi l’atmosphère surréalisante de Grande danse macabre, (1978), théâtre de marionnettes à fil agitées sur plusieurs plans de plateu scénique, ou Second enfant, (1981), femme accouchant de face dont le nombril laisse apercevoir une oeil..

De 1988 à 1991, il grave de petits formats tant expressionnistes que rigoureux.

 






































Expositions :

1989, Halles de Vinohrady, Prague, (G) ; 1990, Genesis, Prague, (P) ; 2012, Centre tchèque, Paris, (P).